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L’agentivité se rapporte à la question de l’identité professionnelle au sein de l’entreprise. Pour intervenir directement ou indirectement sur des activités et des processus, il faut pouvoir se référer à une identité individuelle à peu près stable. Les déterminants personnels et les facteurs comportementaux composent l’agentivité dans un environnement professionnel, car ils renvoient simultanément aux compétences internes (cognitives ) et externes (liées à la performance ). Par exemple, l’anticipation, la délégation de pouvoir, la régulation des conflits, réclament une réflexivité, un retour sur soi-même sans lequel il devient impossible d’évaluer l’impact de son action.
Les sciences cognitives et la psychologie sociale s’intéressent à l’agentivité. Les premières essaient de comprendre les processus cognitifs qui fondent le sentiment d’identité et l’origine des troubles qui l’altèrent. La seconde vise à évaluer les performances d’un individu, sa capacité à agir dans le monde qui l’entoure en fonction de la confiance qu’il possède en lui-même. Si l’on ajoute la pertinence d’une démarche écologique qui éclaire les rapports qu’un individu entretient avec son milieu pour se reconnaitre et agir, on dispose des approches théoriques majeures qui permettent d’éclairer la notion d’agentivité.
La négociation et la confrontation positive sont deux cadres professionnels où l’agentivité revêt une grande importance. La défense d’intérêts et l’engagement responsable dans une collaboration se fondent sur la conviction que la contribution apportée possède une valeur spécifique et identifiable. Pour mener à bien une négociation ou participer efficacement à une décision collective, il importe de se sentir auteur d’une action qui vous est propre.
Acteur – Sujet – Empathie – Décision cognitive
L'agentivité
La problématique.
L’agentivité se rapporte à la question de l’identité professionnelle au sein de l’entreprise. Pour intervenir directement ou indirectement sur des activités et des processus, il faut pouvoir se référer à une identité individuelle à peu près stable. Les déterminants personnels et les facteurs comportementaux composent l’agentivité dans un environnement professionnel, car ils renvoient simultanément aux compétences internes (cognitives ) et externes (liées à la performance ). Par exemple, l’anticipation, la délégation de pouvoir, la régulation des conflits, réclament une réflexivité, un retour sur soi-même sans lequel il devient impossible d’évaluer l’impact de son action.
Le modèle de référence.
Les sciences cognitives et la psychologie sociale s’intéressent à l’agentivité. Les premières essaient de comprendre les processus cognitifs qui fondent le sentiment d’identité et l’origine des troubles qui l’altèrent. La seconde vise à évaluer les performances d’un individu, sa capacité à agir dans le monde qui l’entoure en fonction de la confiance qu’il possède en lui-même. Si l’on ajoute la pertinence d’une démarche écologique qui éclaire les rapports qu’un individu entretient avec son milieu pour se reconnaitre et agir, on dispose des approches théoriques majeures qui permettent d’éclairer la notion d’agentivité.
Exemple.
La négociation et la confrontation positive sont deux cadres professionnels où l’agentivité revêt une grande importance. La défense d’intérêts et l’engagement responsable dans une collaboration se fondent sur la conviction que la contribution apportée possède une valeur spécifique et identifiable. Pour mener à bien une négociation ou participer efficacement à une décision collective, il importe de se sentir auteur d’une action qui vous est propre.
Concepts clés connexes.
Acteur – Sujet – Empathie – Décision cognitive
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