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Le sujet est un individu qui agit en se sentant auteur de ses propres actions. Contrairement à l’acteur il n’agit pas seulement en fonction de normes extérieures mais fait valoir dans toutes ses décisions des motivations internes et une sensibilité qui lui sont propres. Comme l’idée l’indique, la subjectivité devient partie prenante de l’action et conditionne la façon d’être et de se comporter.
Reconnaitre l’existence de sujets, et non plus simplement d’acteurs, dans la vie sociale et professionnelle, modifie singulièrement l’approche de la décision et de l’action. En effet il faut prendre en compte les sensibilités qui influent et déterminent les façons de faire. Dans cette optique les stratégies des individus deviennent cognitives, elles expriment des modes de projection, d’ajustement, qui reflètent les modèles mentaux internes des sujets. Les stratégies d’action excèdent très largement un rapport entre des moyens et des fins et révèlent des schèmes opératoires qui montrent le caractère indissociable de la raison et de la sensibilité, de l’émotion et de l’action.
L’ensemble des activités mentales est pris en considération si l’on étudie un sujet connaissant et agissant. La mémoire, le raisonnement, le langage, la perception, l’attention, par exemple, influent sur les décisions et les actions. Dans une telle perspective la subjectivité ne renvoie pas uniquement à une histoire personnelle mais aux modèles mentaux internes d’un individu qui conditionnent ses décisions et ses actions. Les sciences cognitives, notamment la psychologie, tentent d’éclaircir la manière dont un sujet anticipe, décide, arbitre, collabore et ce en fonction du monde qu’il s’est construit pour se confronter à la réalité.
Le processus de travail collaboratif mobilise des sujets, et non des acteurs, pour établir un diagnostic, trouver des solutions, élaborer un plan d’action, évaluer des réalisations. Au cours d’un tel processus les sujets font valoir des façons d’observer, de parler, d’argumenter, de se confronter, qui expriment la diversité des points de vue et des sensibilités. Cette diversité, condition de tout travail collaboratif, ne saurait se réduire à des stratégies d’acteurs uniquement guidées par les règles et les normes qui structurent ce processus.
Acteur – Décision cognitive – Modèle collaboratif – Confrontation positive
Le sujet
Le sujet est un individu qui agit en se sentant auteur de ses propres actions. Contrairement à l’acteur il n’agit pas seulement en fonction de normes extérieures mais fait valoir dans toutes ses décisions des motivations internes et une sensibilité qui lui sont propres. Comme l’idée l’indique, la subjectivité devient partie prenante de l’action et conditionne la façon d’être et de se comporter.
La problématique.
Reconnaitre l’existence de sujets, et non plus simplement d’acteurs, dans la vie sociale et professionnelle, modifie singulièrement l’approche de la décision et de l’action. En effet il faut prendre en compte les sensibilités qui influent et déterminent les façons de faire. Dans cette optique les stratégies des individus deviennent cognitives, elles expriment des modes de projection, d’ajustement, qui reflètent les modèles mentaux internes des sujets. Les stratégies d’action excèdent très largement un rapport entre des moyens et des fins et révèlent des schèmes opératoires qui montrent le caractère indissociable de la raison et de la sensibilité, de l’émotion et de l’action.
Le modèle de référence.
L’ensemble des activités mentales est pris en considération si l’on étudie un sujet connaissant et agissant. La mémoire, le raisonnement, le langage, la perception, l’attention, par exemple, influent sur les décisions et les actions. Dans une telle perspective la subjectivité ne renvoie pas uniquement à une histoire personnelle mais aux modèles mentaux internes d’un individu qui conditionnent ses décisions et ses actions. Les sciences cognitives, notamment la psychologie, tentent d’éclaircir la manière dont un sujet anticipe, décide, arbitre, collabore et ce en fonction du monde qu’il s’est construit pour se confronter à la réalité.
Exemple.
Le processus de travail collaboratif mobilise des sujets, et non des acteurs, pour établir un diagnostic, trouver des solutions, élaborer un plan d’action, évaluer des réalisations. Au cours d’un tel processus les sujets font valoir des façons d’observer, de parler, d’argumenter, de se confronter, qui expriment la diversité des points de vue et des sensibilités. Cette diversité, condition de tout travail collaboratif, ne saurait se réduire à des stratégies d’acteurs uniquement guidées par les règles et les normes qui structurent ce processus.
Concepts clés connexes.
Acteur – Décision cognitive – Modèle collaboratif – Confrontation positive
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