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Les schèmes de relation sont des dispositions qui donnent une forme et un contenu aux liaisons pratiques entre soi et autrui, entre les individus (ou les entités collectives ) dans un environnement donné. Les schèmes de relation peuvent être classés selon leur niveau d’équivalence et/ou la réciprocité entre les individus. On peut distinguer deux groupes de schèmes de relation. Le premier comprend l’échange, la prédation et le don. Le second recouvre la production, la protection et la transmission. Les schèmes du premier groupe sont potentiellement réversibles du point de vue de la relation (ils peuvent exister en sens inverse ), ceux du second groupe sont univoques (non réversibles ).
Si l’on considère un schème comme l’incorporation d’un comportement individuel ou collectif qui devient une disposition à agir selon des règles de conduite qui ne sont jamais formulées, le schème de relation apparait comme une forme intériorisée de liaison avec autrui. Cette forme a une grande importance dans la vie et l’activité des entreprises car un grand nombre de relations professionnelles sont informelles et échappent aux règles et normes explicites de leurs organisations. Dès lors, les schèmes de relation au sein des entreprises témoignent de leurs histoires et de leurs cultures car ils traduisent des façons de communiquer et d’échanger qui se sont déposées au fil du temps au travers d’habitudes et de coutumes.
Les schèmes de relation sont au cœur de l’Anthropologie dès lors qu’on peut les observer dans toutes les sociétés humaines.
Aussi les schèmes mis en lumière par l’Anthropologie sont utiles aux entreprises si on les considère comme représentatives de communautés sociales et professionnelles. De ce point de vue les entreprises ne sauraient échapper aux formes implicites de relation qui traversent toute communauté humaine même si certaines d’entre elles sont difficilement transposables, stricto sensu, dans un environnement régi par des lois économiques et financières. Néanmoins, il est facile d’observer des schèmes de relation dans les transactions, liens et contrôles qui structurent la vie des entreprises.
Les schèmes de relation sont tous observables dans la vie et l’activité de l’entreprise. On peut aisément trouver des exemples d’échange (ex. l’information ), de prédation (ex. les rapports de force ), de don (ex. la collaboration ), de production (ex. les projets ), de protection (ex. le soutien hiérarchique ) ou de transmission (ex. le mentoring ).
Schème opératoire/ collectif – Paradigme
Les schèmes de relation
Les schèmes de relation sont des dispositions qui donnent une forme et un contenu aux liaisons pratiques entre soi et autrui, entre les individus (ou les entités collectives ) dans un environnement donné. Les schèmes de relation peuvent être classés selon leur niveau d’équivalence et/ou la réciprocité entre les individus. On peut distinguer deux groupes de schèmes de relation. Le premier comprend l’échange, la prédation et le don. Le second recouvre la production, la protection et la transmission. Les schèmes du premier groupe sont potentiellement réversibles du point de vue de la relation (ils peuvent exister en sens inverse ), ceux du second groupe sont univoques (non réversibles ).
La problématique.
Si l’on considère un schème comme l’incorporation d’un comportement individuel ou collectif qui devient une disposition à agir selon des règles de conduite qui ne sont jamais formulées, le schème de relation apparait comme une forme intériorisée de liaison avec autrui. Cette forme a une grande importance dans la vie et l’activité des entreprises car un grand nombre de relations professionnelles sont informelles et échappent aux règles et normes explicites de leurs organisations. Dès lors, les schèmes de relation au sein des entreprises témoignent de leurs histoires et de leurs cultures car ils traduisent des façons de communiquer et d’échanger qui se sont déposées au fil du temps au travers d’habitudes et de coutumes.
Le modèle de référence.
Les schèmes de relation sont au cœur de l’Anthropologie dès lors qu’on peut les observer dans toutes les sociétés humaines.
Aussi les schèmes mis en lumière par l’Anthropologie sont utiles aux entreprises si on les considère comme représentatives de communautés sociales et professionnelles. De ce point de vue les entreprises ne sauraient échapper aux formes implicites de relation qui traversent toute communauté humaine même si certaines d’entre elles sont difficilement transposables, stricto sensu, dans un environnement régi par des lois économiques et financières. Néanmoins, il est facile d’observer des schèmes de relation dans les transactions, liens et contrôles qui structurent la vie des entreprises.
Exemple.
Les schèmes de relation sont tous observables dans la vie et l’activité de l’entreprise. On peut aisément trouver des exemples d’échange (ex. l’information ), de prédation (ex. les rapports de force ), de don (ex. la collaboration ), de production (ex. les projets ), de protection (ex. le soutien hiérarchique ) ou de transmission (ex. le mentoring ).
Concepts clés connexes.
Schème opératoire/ collectif – Paradigme
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