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Dans l’approche des réalités sociales, le holisme est une démarche qui prétend que la connaissance des totalités, des ensembles, permet de comprendre les actions et comportements des individus. « Le tout est plus grand que la somme de ses parties » est l’expression même de la conception holistique des phénomènes sociaux. C’est la connaissance des institutions, des organisations ou des collectifs, qui éclaire les agissements individuels et non l’inverse. En entreprise l’approche holistique privilégie l’analyse des structures, des métiers, des fonctions collectives, pour appréhender les stratégies des collaborateurs et leur donner un sens.
Le holisme se conçoit à travers l’opposition traditionnelle qui le lie à l’individualisme méthodologique. D’une manière générale la problématique est la suivante. Faut-il traiter les phénomènes et mouvements sociaux comme des entités et des faits collectifs ou comme les agrégats des relations et actions des individus. L’approche holistique soutient qu’il faut considérer les faits sociaux à un niveau macroscopique et analyser des entités collectives qui demeurent irréductibles à la somme de leurs composantes individuelles. Dans cette optique le global prévaut sur le local, le sociétal sur l’individuel, le système sur les acteurs. La compréhension de la dynamique et de l’évolution des entreprises passe souvent par une alternance des approches holistiques et individualistes.
Depuis plus d’un siècle, le holisme et l’individualisme méthodologique se confrontent en sociologie pour comprendre et anticiper les phénomènes sociaux. Les études sur les entreprises et les mouvements collectifs qui les animent n’échappent pas à cette confrontation traditionnelle. Ainsi la compréhension ou l’action des acteurs d’une entreprise, qu’ils soient managers ou collaborateurs, oscille entre la recherche des effets de structure sur les comportements individuels et l’étude des caractéristiques d’une organisation à travers les stratégies et interactions des agents économiques et sociaux. De ce point de vue sociologie des organisations et psychologie sociale se complémentent plus qu’elles ne s’opposent.
Souvent la réorganisation d’une entreprise repose sur approche holistique car elle se fonde sur l’évaluation et la réorientation d’entités collectives : les métiers, les fonctions-support, etc.
Schèmes collectifs – Réseaux – Paradigmes
Le holisme
Dans l’approche des réalités sociales, le holisme est une démarche qui prétend que la connaissance des totalités, des ensembles, permet de comprendre les actions et comportements des individus. « Le tout est plus grand que la somme de ses parties » est l’expression même de la conception holistique des phénomènes sociaux. C’est la connaissance des institutions, des organisations ou des collectifs, qui éclaire les agissements individuels et non l’inverse. En entreprise l’approche holistique privilégie l’analyse des structures, des métiers, des fonctions collectives, pour appréhender les stratégies des collaborateurs et leur donner un sens.
La problématique.
Le holisme se conçoit à travers l’opposition traditionnelle qui le lie à l’individualisme méthodologique. D’une manière générale la problématique est la suivante. Faut-il traiter les phénomènes et mouvements sociaux comme des entités et des faits collectifs ou comme les agrégats des relations et actions des individus. L’approche holistique soutient qu’il faut considérer les faits sociaux à un niveau macroscopique et analyser des entités collectives qui demeurent irréductibles à la somme de leurs composantes individuelles. Dans cette optique le global prévaut sur le local, le sociétal sur l’individuel, le système sur les acteurs. La compréhension de la dynamique et de l’évolution des entreprises passe souvent par une alternance des approches holistiques et individualistes.
Le modèle de référence.
Depuis plus d’un siècle, le holisme et l’individualisme méthodologique se confrontent en sociologie pour comprendre et anticiper les phénomènes sociaux. Les études sur les entreprises et les mouvements collectifs qui les animent n’échappent pas à cette confrontation traditionnelle. Ainsi la compréhension ou l’action des acteurs d’une entreprise, qu’ils soient managers ou collaborateurs, oscille entre la recherche des effets de structure sur les comportements individuels et l’étude des caractéristiques d’une organisation à travers les stratégies et interactions des agents économiques et sociaux. De ce point de vue sociologie des organisations et psychologie sociale se complémentent plus qu’elles ne s’opposent.
Exemple.
Souvent la réorganisation d’une entreprise repose sur approche holistique car elle se fonde sur l’évaluation et la réorientation d’entités collectives : les métiers, les fonctions-support, etc.
Concepts clés connexes.
Schèmes collectifs – Réseaux – Paradigmes
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