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Deux difficultés principales sont à l’origine de l’ambiguïté et de l’incompréhension du concept de cognition. D’une part le terme est utilisé comme un synonyme de la connaissance, d’autre part il se trouve au centre de disciplines scientifiques et de démarches pratiques différentes. Dès lors son emploi demeure, souvent, approximatif. Pourtant la principale vertu de ce concept est d’opérer une distinction entre le fait de connaître et le processus qui permet d’aboutir à la connaissance. Certes, la cognition recouvre un ensemble de processus complexes qui s’ancrent dans des fonctions cérébrales diverses, mais elle indique aussi une réalité tangible : celle de l’acquisition et de la production des connaissances et les manières d’aborder cette réalité autrement qu’en termes intuitifs.
La cognition ne s’ancre pas dans un modèle mais dans tous ceux développés par les sciences cognitives. C’est peu de dire que ce concept est au cœur d’une interdisciplinarité qui développe de nombreuses versions du concept. La psychologie, la sociologie, la linguistique, l’éthologie, les neurosciences, par exemple, développent des analyses et des explications de la cognition en liaison avec leurs champs de recherches respectifs. A cet égard, et dès lors que l’on relie ce concept aux capacités cérébrales, on peut dire que la cognition ne concerne pas exclusivement l’esprit humain. On parle aussi de cognition animale, notamment à travers les travaux de la psychologie cognitive qui compare des fonctions cérébrales chez les animaux et chez les humains.
En entreprise, les processus d’apprentissage et de formation témoigne de cette volonté de faire appel à des processus cognitifs différents et complémentaires : ainsi, l’implication des apprenants dans des mises en situation, jeux de rôles, ou autres dispositifs interactifs.
Cognition sociale – Décision cognitive – Catégorisation
La cognition
La problématique.
Deux difficultés principales sont à l’origine de l’ambiguïté et de l’incompréhension du concept de cognition. D’une part le terme est utilisé comme un synonyme de la connaissance, d’autre part il se trouve au centre de disciplines scientifiques et de démarches pratiques différentes. Dès lors son emploi demeure, souvent, approximatif. Pourtant la principale vertu de ce concept est d’opérer une distinction entre le fait de connaître et le processus qui permet d’aboutir à la connaissance. Certes, la cognition recouvre un ensemble de processus complexes qui s’ancrent dans des fonctions cérébrales diverses, mais elle indique aussi une réalité tangible : celle de l’acquisition et de la production des connaissances et les manières d’aborder cette réalité autrement qu’en termes intuitifs.
Le modèle de référence.
La cognition ne s’ancre pas dans un modèle mais dans tous ceux développés par les sciences cognitives. C’est peu de dire que ce concept est au cœur d’une interdisciplinarité qui développe de nombreuses versions du concept. La psychologie, la sociologie, la linguistique, l’éthologie, les neurosciences, par exemple, développent des analyses et des explications de la cognition en liaison avec leurs champs de recherches respectifs. A cet égard, et dès lors que l’on relie ce concept aux capacités cérébrales, on peut dire que la cognition ne concerne pas exclusivement l’esprit humain. On parle aussi de cognition animale, notamment à travers les travaux de la psychologie cognitive qui compare des fonctions cérébrales chez les animaux et chez les humains.
Exemple.
En entreprise, les processus d’apprentissage et de formation témoigne de cette volonté de faire appel à des processus cognitifs différents et complémentaires : ainsi, l’implication des apprenants dans des mises en situation, jeux de rôles, ou autres dispositifs interactifs.
Concepts clés connexes.
Cognition sociale – Décision cognitive – Catégorisation
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