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La cohésion sociale et professionnelle qualifie le degré d’attraction d’un groupe sur ses propres membres. La notion désigne un ensemble de forces qui agissent sur les membres d’un groupe pour qu’ils y demeurent. Il s’agit d’un véritable ciment social unissant les membres d’une communauté et leur procurant un sentiment fort d’appartenance et de sécurité. Les forces de cohésion se manifestent parfois par des tendances contradictoires, comme des pressions visant à réduire les divergences d’opinions ou, au contraire, comme des changements d’opinions multiples traduisant une grande confiance dans le collectif. On peut définir et caractériser la cohésion en fonction du type d’organisation observé.
La compréhension de la cohésion d’un collectif, ou d’une communauté avérée, passe par le rapport entre son organisation et ses formes d’action. Ainsi la cohésion d’un réseau, ou d’un appareil, se manifeste par des actions qui sont, en partie, dictées par la forme de leur organisation. D’autre part, il faut pouvoir distinguer ce qui relève, dans un collectif, de la cohésion véritable et non de l’inertie ou de la résignation. Pour le modèle collaboratif la cohésion d’une communauté professionnelle dépend souvent d’une organisation en réseau, même partielle, et d’une dynamique d’actions non récurrentes. C’est à travers l’innovation et l’initiative de ses membres qu’un réseau collaboratif exprime sa cohésion. Dans cette perspective la cohésion d’un collectif devient inséparable de sa créativité.
La question de la cohésion des collectifs socioprofessionnels est au centre de la psychologie sociale et plus particulièrement de la dynamique des groupes initiée par Kurt Lewin dès les années trente. Il s’agit notamment de comprendre l’influence de la présence d’autrui sur les performances individuelles. Les phénomènes d’intégration, de différenciation, d’autonomie et d’interdépendance des individus au sein d’un groupe sont au cœur de cette réflexion. La dynamique des groupes permet de différencier des collectifs restreints et des collectifs élargis et d’associer la cohésion aux types d’activités qui valorisent les contributions et accroissent les liens d’appartenance entre les membres de ces collectifs.
La gestion de crise est un moment où l’on peut observer la cohésion d’un groupe. La prise de décision rapide dans des situations incertaines et tendues (voire dangereuses ) repose des capacités de coordination fondées dans la cohésion et l’engagement du collectif.
Réseau – Intégration – Engagement – Codécision
La cohésion sociale
La cohésion sociale et professionnelle qualifie le degré d’attraction d’un groupe sur ses propres membres. La notion désigne un ensemble de forces qui agissent sur les membres d’un groupe pour qu’ils y demeurent. Il s’agit d’un véritable ciment social unissant les membres d’une communauté et leur procurant un sentiment fort d’appartenance et de sécurité. Les forces de cohésion se manifestent parfois par des tendances contradictoires, comme des pressions visant à réduire les divergences d’opinions ou, au contraire, comme des changements d’opinions multiples traduisant une grande confiance dans le collectif. On peut définir et caractériser la cohésion en fonction du type d’organisation observé.
La problématique.
La compréhension de la cohésion d’un collectif, ou d’une communauté avérée, passe par le rapport entre son organisation et ses formes d’action. Ainsi la cohésion d’un réseau, ou d’un appareil, se manifeste par des actions qui sont, en partie, dictées par la forme de leur organisation. D’autre part, il faut pouvoir distinguer ce qui relève, dans un collectif, de la cohésion véritable et non de l’inertie ou de la résignation. Pour le modèle collaboratif la cohésion d’une communauté professionnelle dépend souvent d’une organisation en réseau, même partielle, et d’une dynamique d’actions non récurrentes. C’est à travers l’innovation et l’initiative de ses membres qu’un réseau collaboratif exprime sa cohésion. Dans cette perspective la cohésion d’un collectif devient inséparable de sa créativité.
Le modèle de référence.
La question de la cohésion des collectifs socioprofessionnels est au centre de la psychologie sociale et plus particulièrement de la dynamique des groupes initiée par Kurt Lewin dès les années trente. Il s’agit notamment de comprendre l’influence de la présence d’autrui sur les performances individuelles. Les phénomènes d’intégration, de différenciation, d’autonomie et d’interdépendance des individus au sein d’un groupe sont au cœur de cette réflexion. La dynamique des groupes permet de différencier des collectifs restreints et des collectifs élargis et d’associer la cohésion aux types d’activités qui valorisent les contributions et accroissent les liens d’appartenance entre les membres de ces collectifs.
Exemple.
La gestion de crise est un moment où l’on peut observer la cohésion d’un groupe. La prise de décision rapide dans des situations incertaines et tendues (voire dangereuses ) repose des capacités de coordination fondées dans la cohésion et l’engagement du collectif.
Concepts clés connexes.
Réseau – Intégration – Engagement – Codécision
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