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L’organisation est le mode d’agencement des éléments, relations et interactions d’un système. On ne peut parler d’organisation que si l’on est en mesure de décrire cet agencement. Elle désigne aussi bien les éléments de dynamique du système (finalités, fonctionnement, etc. ) que sa statique (sa structure ). C’est parce que l’organisation touche à la forme et au fonctionnement d’un système qu’elle possède un sens aussi général.
La recherche de la meilleure façon de structurer, coordonner et piloter une organisation pour qu’elle soit performante dans son environnement a conduit à développer, au titre de la théorie des organisations, des champs de recherche et des modèles très variés,. Dans le contexte actuel, la difficulté est de parvenir à se dégager des modèles canoniques afin de définir, pour chaque entreprise, l’organisation la plus adaptée aux enjeux du moment. Or ce sont les choix réalisés en matière de répartition et de coordination du travail qui, pour une large part, déterminent les modèles d’organisation retenus. Dans le contexte concurrentiel et évolutif actuel, ces choix sont plus particulièrement influencés par la façon de gérer les incertitudes liées à l’environnement externe (niveau d’intégration interne/externe souhaité ) et à l’exécution du travail (niveau de contrôle ou d’autonomie développé ).
Depuis son apparition au dix neuvième siècle la théorie des organisations n’a cessé de s’enrichir selon les approches développées: l’organisation scientifique du travail (Taylor ), le modèle bureaucratique (Fayol, Weber ), la socio dynamique des groupes (Mayo, Lewin ), la théorie des systèmes (Bertalanffy, Crozier ), la théorie de la contingence (Minzberg, Woodward ), les théories de la firme (Langlois ) ou de l’entreprise réseau (Powel, Achrol ) pour ne citer que les plus structurantes. Chacune apporte son éclairage et alimente le débat sur les meilleures façons de développer sa compétitivité dans une économie mondialisée, concurrentielle et dominée par l’émergence de nouvelles technologies qui renforcent le caractère complexe et peu prédictible des marchés.
Parmi les organisations dites classiques, on trouve les organisations fonctionnelles, divisionnelles, ou matricielles ainsi que toutes les hybridations entre ces trois modèles types. Parmi les nouvelles formes, on voit se développer les organisations en réseau, les organisations virtuelles ou en équipes et bien évidemment toutes les combinaisons associées.
Système – Structure – Appareil – Réseau
L'organisation
L’organisation est le mode d’agencement des éléments, relations et interactions d’un système. On ne peut parler d’organisation que si l’on est en mesure de décrire cet agencement. Elle désigne aussi bien les éléments de dynamique du système (finalités, fonctionnement, etc. ) que sa statique (sa structure ). C’est parce que l’organisation touche à la forme et au fonctionnement d’un système qu’elle possède un sens aussi général.
La problématique.
La recherche de la meilleure façon de structurer, coordonner et piloter une organisation pour qu’elle soit performante dans son environnement a conduit à développer, au titre de la théorie des organisations, des champs de recherche et des modèles très variés,. Dans le contexte actuel, la difficulté est de parvenir à se dégager des modèles canoniques afin de définir, pour chaque entreprise, l’organisation la plus adaptée aux enjeux du moment. Or ce sont les choix réalisés en matière de répartition et de coordination du travail qui, pour une large part, déterminent les modèles d’organisation retenus. Dans le contexte concurrentiel et évolutif actuel, ces choix sont plus particulièrement influencés par la façon de gérer les incertitudes liées à l’environnement externe (niveau d’intégration interne/externe souhaité ) et à l’exécution du travail (niveau de contrôle ou d’autonomie développé ).
Le modèle de référence.
Depuis son apparition au dix neuvième siècle la théorie des organisations n’a cessé de s’enrichir selon les approches développées: l’organisation scientifique du travail (Taylor ), le modèle bureaucratique (Fayol, Weber ), la socio dynamique des groupes (Mayo, Lewin ), la théorie des systèmes (Bertalanffy, Crozier ), la théorie de la contingence (Minzberg, Woodward ), les théories de la firme (Langlois ) ou de l’entreprise réseau (Powel, Achrol ) pour ne citer que les plus structurantes. Chacune apporte son éclairage et alimente le débat sur les meilleures façons de développer sa compétitivité dans une économie mondialisée, concurrentielle et dominée par l’émergence de nouvelles technologies qui renforcent le caractère complexe et peu prédictible des marchés.
Exemples.
Parmi les organisations dites classiques, on trouve les organisations fonctionnelles, divisionnelles, ou matricielles ainsi que toutes les hybridations entre ces trois modèles types. Parmi les nouvelles formes, on voit se développer les organisations en réseau, les organisations virtuelles ou en équipes et bien évidemment toutes les combinaisons associées.
Concepts clés connexes.
Système – Structure – Appareil – Réseau
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