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Le concept général de responsabilité recouvre trois notions distinctes dans son usage courant. Premièrement le concept renvoie à l’idée d’un état, d’une situation, par exemple : un manager responsable des dégradations causées par ses collaborateurs. Deuxièmement la responsabilité désigne une capacité à exercer une fonction. Troisièmement le concept se rapporte à l’idée d’obligation, toujours à titre d’exemple : un manager doit répondre du fonctionnement de son équipe devant les instances dirigeantes de son entreprise, et parfois, devant la loi. La responsabilité d’un individu s’exerce donc selon plusieurs registres.
Pouvoir simultanément faire face à ses obligations en évaluant sa capacité à représenter des situations et à agir sur elles, n’est pas chose aisée. C’est pourquoi l’exercice des responsabilités demeure difficile tant il exige du discernement, notamment en entreprise où les relations hiérarchiques peuvent perturber cet exercice en le rendant approximatif ou diffus. Plus une chaîne hiérarchique est longue et plus les responsabilités se diluent. Pour surmonter cette difficulté le modèle collaboratif croise les responsabilités verticales et horizontales. Il développe chez les collaborateurs une responsabilité partagée, individuelle et collective, pour affronter les situations et répondre aux obligations communes. En cela, il clarifie et réaffirme les responsabilités des managers comme celles des collaborateurs.
Le terme de responsabilité apparaît au dix-huitième siècle avec l’évolution du droit. Dès l’origine l’idée de responsabilité se présente sous deux aspects. D’une part, un aspect juridique où la responsabilité apparaît sous la forme d’une institution qui impose du dehors sa contrainte à l’individu. D’autre part une responsabilité morale qui ne concerne que le sujet dans le rapport qu’il entretient avec lui-même. Evidemment ces deux aspects de la responsabilité sont, souvent, étroitement liées. C’est le cas en entreprise où la responsabilité d’un manager et/ou d’un collaborateur relèvent d’un système de contraintes et d’une évaluation subjective de leurs capacités ou obligations. La responsabilité des uns et des autres peut s’élargir dès lors que l’intersubjectivité et les interactions se développent.
La question de la responsabilité apparaît sous des formes si diverses qu’il est vain de vouloir l’illustrer par des exemples significatifs. Néanmoins elle demeure une question essentielle pour l’individu et l’entreprise.
Engagement – Motivation intrinsèque / extrinsèque – Décision – Autonomie
La responsabilité
Le concept général de responsabilité recouvre trois notions distinctes dans son usage courant. Premièrement le concept renvoie à l’idée d’un état, d’une situation, par exemple : un manager responsable des dégradations causées par ses collaborateurs. Deuxièmement la responsabilité désigne une capacité à exercer une fonction. Troisièmement le concept se rapporte à l’idée d’obligation, toujours à titre d’exemple : un manager doit répondre du fonctionnement de son équipe devant les instances dirigeantes de son entreprise, et parfois, devant la loi. La responsabilité d’un individu s’exerce donc selon plusieurs registres.
La problématique.
Pouvoir simultanément faire face à ses obligations en évaluant sa capacité à représenter des situations et à agir sur elles, n’est pas chose aisée. C’est pourquoi l’exercice des responsabilités demeure difficile tant il exige du discernement, notamment en entreprise où les relations hiérarchiques peuvent perturber cet exercice en le rendant approximatif ou diffus. Plus une chaîne hiérarchique est longue et plus les responsabilités se diluent. Pour surmonter cette difficulté le modèle collaboratif croise les responsabilités verticales et horizontales. Il développe chez les collaborateurs une responsabilité partagée, individuelle et collective, pour affronter les situations et répondre aux obligations communes. En cela, il clarifie et réaffirme les responsabilités des managers comme celles des collaborateurs.
Le modèle de référence.
Le terme de responsabilité apparaît au dix-huitième siècle avec l’évolution du droit. Dès l’origine l’idée de responsabilité se présente sous deux aspects. D’une part, un aspect juridique où la responsabilité apparaît sous la forme d’une institution qui impose du dehors sa contrainte à l’individu. D’autre part une responsabilité morale qui ne concerne que le sujet dans le rapport qu’il entretient avec lui-même. Evidemment ces deux aspects de la responsabilité sont, souvent, étroitement liées. C’est le cas en entreprise où la responsabilité d’un manager et/ou d’un collaborateur relèvent d’un système de contraintes et d’une évaluation subjective de leurs capacités ou obligations. La responsabilité des uns et des autres peut s’élargir dès lors que l’intersubjectivité et les interactions se développent.
Exemple.
La question de la responsabilité apparaît sous des formes si diverses qu’il est vain de vouloir l’illustrer par des exemples significatifs. Néanmoins elle demeure une question essentielle pour l’individu et l’entreprise.
Concepts clés connexes.
Engagement – Motivation intrinsèque / extrinsèque – Décision – Autonomie
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