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Le management coopératif consiste à créer les conditions internes qui permettent aux collaborateurs de mieux communiquer, de coordonner leurs actions et leurs projets et de résoudre collectivement les problèmes. Ce management est très exigeant car il fonde des modalités d’interaction dont les différents niveaux s’emboîtent, du plus simple – la communication – au plus complexe – la résolution collective de problèmes. Le management coopératif met en œuvre un dispositif d’organisation du travail qui allie les compétences humaines, l’appréhension des systèmes et les nouvelles technologies. Il s’appuie sur des collaborateurs considérés comme des sujets et non comme des acteurs.
Le management coopératif ne doit pas être confondu avec l’autogestion ou l’auto-organisation du travail car il maintient des relations hiérarchiques. Il réclame, dans bien des cas, une véritable capacité d’entrainement et d’orientation des collaborateurs. L’exigence, liée au management coopératif, tient, d’abord, à son pouvoir de transformation de l’organisation et des fonctionnements de l’entreprise ; pouvoir limité mais réel par rapport aux structures qui déterminent le découpage des activités et leurs interactions (directions, départements, business units ). Ce type de management nécessite une capacité d’innovation certaine pour faire évoluer les comportements et les relations professionnels.
Le management coopératif est au centre de toutes les discussions qui touchent à l’entreprise depuis quelques dizaines d’années. Il a fait l’objet d’applications, parfois partielles, dans la recherche du progrès continu et le développement des modes d’organisation en projet. Ce management a acquis une modernité rénovée avec l’apparition des nouvelles technologies et la création d’espaces coopératifs (dits collaboratifs ) qui aident les collaborateurs à partager l’information et à contribuer sur les affaires et les projets. De nos jours on emploie souvent l’expression «management collaboratif» pour désigner le management coopératif. Il est à noter que si tout ou partie du management coopératif devrait théoriquement se retrouver appliqué au sein des Scops (Société Coopérative ), ce n’est pas nécessairement le cas.
Une plate forme stratégique qui réunit différents métiers pour faire aboutir un projet dans les meilleurs délais réclame un management coopératif qui fluidifie les échanges d’information, coordonne les propositions et sollicite les expertises et compétences pour résoudre les problèmes.
Codécision – Confrontation positive – Modèle collaboratif – Consensus extrême – Délibération professionnelle
Le management coopératif
Le management coopératif consiste à créer les conditions internes qui permettent aux collaborateurs de mieux communiquer, de coordonner leurs actions et leurs projets et de résoudre collectivement les problèmes. Ce management est très exigeant car il fonde des modalités d’interaction dont les différents niveaux s’emboîtent, du plus simple – la communication – au plus complexe – la résolution collective de problèmes. Le management coopératif met en œuvre un dispositif d’organisation du travail qui allie les compétences humaines, l’appréhension des systèmes et les nouvelles technologies. Il s’appuie sur des collaborateurs considérés comme des sujets et non comme des acteurs.
La problématique
Le management coopératif ne doit pas être confondu avec l’autogestion ou l’auto-organisation du travail car il maintient des relations hiérarchiques. Il réclame, dans bien des cas, une véritable capacité d’entrainement et d’orientation des collaborateurs. L’exigence, liée au management coopératif, tient, d’abord, à son pouvoir de transformation de l’organisation et des fonctionnements de l’entreprise ; pouvoir limité mais réel par rapport aux structures qui déterminent le découpage des activités et leurs interactions (directions, départements, business units ). Ce type de management nécessite une capacité d’innovation certaine pour faire évoluer les comportements et les relations professionnels.
Le modèle de référence.
Le management coopératif est au centre de toutes les discussions qui touchent à l’entreprise depuis quelques dizaines d’années. Il a fait l’objet d’applications, parfois partielles, dans la recherche du progrès continu et le développement des modes d’organisation en projet. Ce management a acquis une modernité rénovée avec l’apparition des nouvelles technologies et la création d’espaces coopératifs (dits collaboratifs ) qui aident les collaborateurs à partager l’information et à contribuer sur les affaires et les projets. De nos jours on emploie souvent l’expression «management collaboratif» pour désigner le management coopératif. Il est à noter que si tout ou partie du management coopératif devrait théoriquement se retrouver appliqué au sein des Scops (Société Coopérative ), ce n’est pas nécessairement le cas.
Exemple.
Une plate forme stratégique qui réunit différents métiers pour faire aboutir un projet dans les meilleurs délais réclame un management coopératif qui fluidifie les échanges d’information, coordonne les propositions et sollicite les expertises et compétences pour résoudre les problèmes.
Concepts clés connexes.
Codécision – Confrontation positive – Modèle collaboratif – Consensus extrême – Délibération professionnelle
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